Vous utilisez WordPress pour la publication de vos meilleurs articles depuis déjà un bon bout de temps. Vous avez installé la dernière mise à jour du logiciel, mais vous ne remarquez aucune amélioration de performance. C’est peut-être que vous n’utilisez pas les bons réglages.
Un travail pré fait nécessite moins de temps d’exécution
Ménager l’utilisation du serveur. Comme quand vous allez regarder une vidéo sur YouTube, vous laisser d’abord la vidéo finir de se charger complètement et quand vous allez faire la lecture, il n’y aura aucune interruption lors du streaming. Le concept est identique pour WordPress, stockez certaines pages web dans le serveur pour en faciliter l’accès à la prochaine fois. On appelle cela un système de cache, exactement comme dans les navigateurs de Windows. Pareillement, pensez à vous occuper des images que vous utilisez. Le chargement d’image prend beaucoup sur la bande passante. Cela risque de ralentir votre serveur. La meilleure solution serait de les héberger chez un hébergeur gratuit. Mais vous pouvez aussi choisir de planifier leur chargement. Cela veut dire que vous n’allez autoriser le chargement d’images que quand une requête est lancée par un visiteur.
Débarrassez-vous de ce qui ne vous sert pas
Pour optimiser la performance du logiciel WordPress, il est conseillé de supprimer les plug-ins ou les Add-ons qui ne vous servent pas. Gardez juste l’essentiel, le strict minimum. Cela ménagera aussi la gestion de la mémoire. d’ailleurs, vous devriez allouer plus de mémoire PHP pour votre logiciel WordPress. Et pour éviter les encombrements, pensez à nettoyer de temps en temps la base de données, exactement comme le fonctionnement d’un disque dur d’ordinateur. Le nettoyage favorise toujours la performance.
Des conseils d’utilisation
Pour avoir un contrôle optimal sur WordPress, vous devez absolument vérifier le fichier .htaccess. C’est un fichier de configuration utilisé par les serveurs qui contrôle et impose les règles d’accès au répertoire ou le fichier se trouve. Il permet en outre de créer des redirections de liens, de définir des pages d’erreur, de limiter l’accès à certains utilisateurs, de définir des règles de réécriture de liens et aussi d’interdire le listing des répertoires.
En dernier lieu, vous devez songer à contrôler vos liens hypertextes. Assurez-vous que le lien que vous avez utilisé est toujours bien valable et/ou que le lien ne comporte aucune erreur. Ce n’est pas agréable du tout de tomber sur les « Oops, page not found, error 404 ». Et naturellement, pensez aussi à bien gérer vos redirections de pages.